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mercredi 24 octobre 2007
le ministre de l'education nationale xavier darcos promet de réduire de moitié le poids des cartables d'ici la rentrée 2009.
veronique soule
liberation.fr : mercredi 24 octobre 2007
des cahiers moins épais avec un papier plus fin, des classeurs souples à partager entre plusieur profs, des manuels publiés en tomes, voire en fascicules, etc. le ministre de l’education
nationale xavier darcos a annoncé ce matin une série de mesures pour alléger les cartables.
pendant une demi-heure, il s’est amusé à «jouer à la marchande» devant la presse: pour prouver la validité de ses idées, sur une balance électronique, il a pesé des piles de cahiers et de
livres, ainsi que des cartables plus ou moins lourds.
depuis trente ans, le poids des cartables fait problème. en 1979, un rapport parlementaire conclut qu’ils ne devraient pas dépasser 10% du poids de l’élève. on est bien loin du compte. la fcpe,
la principale fédération de parents d’élèves (proche de la gauche), a organisé une très médiatique opération de pesage des cartables la semaine du 8 octobre. il en est ressorti qu’en 5e et en
6e, un cartable pèse en moyenne 8 kilos, soit pour un collégien de 35 kilos plus de 20% de son poids.
le ministre entend réduire de moitié ce poids d’ici la rentrée 2009. il va d’abord demander des efforts aux enseignants, comme remplacer les grands cahiers de 192 pages par des 96 pages ou
accepter un seul classeur – souple de préférence – pour plusieurs matières, etc. dans la mesure du possible, il faudrait que les cours principaux d’une classe aient lieu dans une même salle, et
si le département veut bien financer, construire des casiers. le ministère va par ailleurs lancer un concours pour mettre au point un cartable «léger et solide» d’un kilo maximum.
le plus dur reste les manuels scolaires, la moitié du poids. «on ne va pas continuer à produire des livres qui esquintent le dos des enfants», a dit xavier darcos. pour les nouvelles éditions,
le ministère va lancer des appels d’offre avec pour premier critère le poids. la prochaine étape sera l’équipement des élèves en e-books (livres électroniques). mais on en est encore loin. le
but aujourd’hui est de passer du «cartable fardeau au cartable santé», a rappelé le ministre, qui se refuse toutefois à faire voter une loi comme le réclame la fcpe.
accéder au forum "pourquoi les cartables sont-ils si lourds?"
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mercredi 24 octobre 2007
l’école nouvelle à la mode sarkozy
par pierre madiot et jean-michel zakhartchouk
les circonstances de rentrée des classes qui entourent la « lettre aux éducateurs » ne laissent pas de doute, c’est bien de l’école que notre président veut nous entretenir. pourtant, le titre,
et sa référence évidente à la fameuse « lettre aux instituteurs » de jules ferry, laisse perplexe : à qui ce texte est-il destiné ?
en substituant, dans son adresse mais aussi dans le corps de son long message, le terme « éducateur » à celui d’« instituteur » ou de « professeur », nicolas sarkozy fait le choix de
privilégier l’éducation par rapport à l’instruction. en cela, il s’inscrit bien dans la lignée de jules ferry plus que dans celle de condorcet qui avait fait le choix inverse [1].
mais, en invoquant constamment l’image de « nos enfants » il englobe dans un même ensemble les enseignants, les parents et la république à la tête de laquelle il s’attribue la place de
prescripteur suprême (« je souhaite », « je veux », « je sais », « je suis convaincu », etc.) à la fois « père », chef de l’exécutif et source du législatif...
c’est bien mal connaître le milieu enseignant que de croire qu’il va se ranger derrière un président qui parle en son nom propre. car enfin, sur quelles enquêtes, sur quelles études, sur
quelles concertations s’appuie monsieur sarkozy pour justifier les directions qu’il entend nous donner sinon sur sa volonté personnelle de mettre en Å“uvre une idéologie qui, comme Ã
l’accoutumée, s’ingénie à brouiller les pistes ?
le président revendique en effet un certain nombre de valeurs et de thèmes défendus aussi par la gauche : le mérite et la mixité sociale mais également l’autonomie, l’interdisciplinarité et la
pédagogie active. bref, beaucoup plus de concessions faites, apparemment, aux rénovateurs qu’aux conservateurs.
sarkozy partisan de l’éducation nouvelle ?
oui, mais, dans la même lettre et dans les feuilles de route données au ministre de l’éducation on trouve aussi une nette intention de renforcer la sélection précoce et d’exclure les élèves qui
n’assimilent pas les savoirs calqués jusqu’à aujourd’hui sur ceux qui, jadis, étaient réservés au public bourgeois du secondaire tandis que les enfants du peuple devaient se contenter de la
filière de l’enseignement primaire et primaire supérieur.
tout cela dans la logique de la réorganisation d’une institution scolaire qui doit se plier aux nécessités de la rigueur budgétaire tandis que le contexte socio-économique confie de larges
parts de l’information et de la formation aux officines privées et à l’environnement médiatique.
contradiction entre les deux parties d’un même discours ? peut-être dans la mesure où, fidèle à sa stratégie, le président s’efforce de « ratisser large », selon la logique qui tente de
concilier l’ultra-libéralisme et « l’ouverture à gauche ».
mais peut-être pas finalement si on considère que dans les courants qui se réclament d’une pédagogie « nouvelle », il y a sans doute deux voies, deux perspectives antinomiques. pour certains, Ã
l’époque même de jules ferry, (voir cecil ruddie, camille demolins puis, plus tard, adolphe ferrière, et peut-être même john dewey), la pédagogie active va servir surtout à repérer mieux et
plus tôt les futures élites parmi des élèves déjà sélectionnés par leur origine sociale. ce courant d’inspiration libérale est très éloigné de ce que préconisaient johann heinrich pestalozzi,
janusz korczak, anton makarenko, célestin freinet, francisco ferrer et bien d’autres qui, pour la plupart, se sont consacrés aux enfants défavorisés — malades, orphelins, enfants des rues,
élèves des petites écoles rurales — en postulant l’égalité fondamentale entre tous les êtres humains et en introduisant de la démocratie dans l’organisation de l’institution scolaire. pour ces
pédagogues il s’agit de lutter contre toute forme d’exclusion, de faire avancer tous les élèves vers un but commun, de prendre en compte les différences pour éviter justement qu’elles ne se
traduisent en inégalités. on voit alors l’importance de ne parler par exemple de pédagogie différenciée et d’individualisation qu’en les conjuguant avec l’idée d’un socle commun [2] ou d’une
culture commune, en les replaçant dans le contexte d’une scolarité obligatoire qui impose à la nation le devoir de donner à tous les moyens de réussir.
quand notre ministre rappelle que « le collège unique n’est plus adapté aux difficultés que rencontre l’école aujourd’hui » il veut surtout parler des élèves qui sont "inadaptés" aux visées des
programmes qui n’ont pas changé sur le fond depuis avant 1975. d’où l’insistance à développer les structures d’aide, à parler du "handicap" dont souffrent les élèves des quartiers difficiles,
tout en se résignant à ce qu’on n’impose pas à ces « malheureux » élèves « défavorisés » (appelés curieusement "orphelins de 16 heures" !) des objectifs hors de leur portée. À aucun moment on
n’envisage vraiment de revoir cette fameuse culture commune en faisant vivre l’idée du socle commun de connaissances et de compétences plutôt que de l’agiter comme un slogan ou de le dévoyer
complètement (les rudiments pour le plus grand nombre et « les grandes œuvres » pour l’élite).
voici longtemps que tout le monde dénonce le demi-échec du « collège unique » qui a ouvert à tous les élèves l’accès des collèges sans réussir à y développer un « enseignement pour tous ». mais
plutôt que de l’abolir, il faudrait réaffirmer sa nécessité en demandant que les conditions de sa mise en œuvre soient réunies. ces conditions passent par la redéfinition des objectifs de
l’école en termes de savoirs, de compétences et de formation. au lieu de cela on nous parle de rétablir l’examen d’entrée en sixième [3] qui, au moment où l’enseignement secondaire est devenu
gratuit, en préservait le caractère élitiste.
refonder l’école ? oui, bien sûr. mais pas en renonçant à son ambition d’offrir à tous les élèves une formation qui leur permettra de devenir des citoyens éclairés, de se former tout au long de
la vie et de contribuer à la démocratie. pas en fétichisant le patrimoine culturel et l’argument d’autorité. il s’agit de se donner les moyens d’articuler d’un côté la souplesse, l’imagination
pédagogique, la mise en œuvre d’une diversification des pratiques et, d’un autre côté, la poursuite d’un but commun dans une formation commune qui, au lieu d’être obsédée par le tri social,
soit confiante dans l’éducabilité de chacun.
« l’excellence pour chacun » : une formule creuse ou élitiste si elle ne s’accompagne pas de cet objectif commun et d’une vraie ambition démocratique. on est alors sans doute bien loin de
l’école que souhaite nicolas sarkozy.
pierre madiot et jean-michel zakhartchouk, rédacteurs aux cahiers pédagogiques
coordinateurs du dossier « quel socle commun ? ».
http://www.cahiers-pedagogiques.com/article.php3?id_article=3259
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mercredi 24 octobre 2007
paris, les campements bulgares du périph' évacués
par rue89 12h30 24/10/2007
les occupants, travailleurs du bâtiment et désormais citoyens européens, sont plongés dans un trou noir administratif.
parisiens, vous ne verrez plus aujourd'hui les petites tentes que vous aperceviez furtivement de votre voiture, sur les bords du périphérique, entre la porte de montreuil et la porte des lilas.
ceux qui vivaient là , des bulgares, donc citoyens de l'union européenne, ont été évacués par la police.
"l'expulsion des occupants sans droit ni titre, pour la plupart des ressortissants bulgares, a été prononcée le 5 octobre 2007 par le tribunal de grande instance de paris", dit le communiqué de
la préfecture de police. qui indique qu'une quinzaine d'entre eux devraient être régularisés après une formation, les autres se voyant accorder des "aides au retour volontaire". un dispositif
curieux, s'agissant de ressortissants de l'ue.
des hommes, tous costauds, font bouillir de l'eau dans boîtes de conserve
nous sommes allés leur rendre visite, avant leur évacuation, porte de bagnolet. il fallait contourner une palissade pour découvrir, derrière, les tentes, une cinquantaine, qui s'alignaient le
long d'un sentier. c'était le matin, des hommes, tous costauds, "pomaks" (musulmans pour la plupart) faisaient bouillir de l'eau dans des grosses boites de conserve. pas de femmes en vue. au
bout du chemin, en territoire roumain (une poignée de tentes bien séparées des autres), un tricycle cassé témoignait du passage d'enfants. une poule picorait. les conditions sanitaires étaient
pitoyables.
"je suis en france depuis cinq ans, et ici depuis cinq mois", nous a raconté reyhan h., 35 ans. "j'ai dormi à droite et à gauche, chez des amis ou dans des tentes comme celles-ci." sa femme et
ses enfants, âgés de 3 et 5 ans, sont en bugarie, dans un village près de varna. comme tous les autres, reyhan travaille sur les chantiers. comme tous les autres, il fréquente quelques bars,
dans le quartier de strasbourg-saint-denis.
c'est souvent là qu'il trouve du travail: "c'est par exemple un patron turc qui nous place dans des chantiers conduits par des portugais", dit-il. carreleur, il gagne 100 euros par jour, ce
qu'il gagnerait en un mois s'il était resté à varna. il retourne chez lui une ou deux fois par an.
ces bulgares ne se considèrent pas comme des sdf. ils ont un toit: chez eux, en bulgarie; ils ne sont là que pour des périodes provisoires, dures, mais lucratives. les associations de
sans-abris ne les voient d'ailleurs quasiment jamais passer sur leur écran radar. "nos réseaux les croisent très rarement", reconnait nicole maestracci, la présidente de la fnars.
en situation régulière, avec un travail régulier, mais sans logement
depuis le 1er janvier, ils sont, de part leur nationalité, en situation régulière. ils se lavent dans les bains-douche de la rue des haies. pour ces européens, trouver du travail n'est jamais
un gros problème. le bâtiment a besoin d'eux. sauf que c'est illégal.
chez tony, un bar près du métro strasbourg-saint-denis, des bulgares sont dans la salle, mais aussi sur le trottoir, devant des deux-roues. des grappes d'hommes qui ne parlent pas beaucoup. ils
viennent boire des bières après le travail. hassan est au bar, devant une bière, il fume des "gd blue".
agé de 33 ans, il est maçon, généralement dans des appartements ou des pavillons de banlieue; arrivé il y a un an et demi, de la région de varna lui aussi; deux enfants et une femme auxquels il
rend visite de temps en temps. lui ne dort pas sous une tente, "mais chez un ami". "en dix jours, je gagne autant qu'en six mois en bulgarie", témoigne-t-il.
"je n'ai pas de permis de travail, c'est vrai, mais faut bien manger. certains essayent d'avoir les papiers, ils vont à la préfecture, ils essayent un mois, deux mois, et puis ils se rendent
comptent que cela n'aboutit pas. c'est toujours compliqué: à l'agence d'interim, ils demandent un permis de travail de la préfecture; à la préfecture, ils demandent une adresse et une promesse
d'embauche..."
pour les banques, ce sont les même cercles vicieux: "il faut prouver une adresse, avec une quittance edf", mais pour trouver un logement, il faut un bulletin de salaire... sans compte, il doit
faire tous ses paiements en liquide.
hassan entend bien être régularisé un jour. mais il ne fera rien pour. tant d'autres ont essayé en vain avant lui. il sait que cela ne marche pas. qu'attend-il alors? "une nouvelle loi".
"hassan": à sa demande, le prénom a été changé.
zineb dryef et pascal riché
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mercredi 24 octobre 2007
témoignage d’une expulsion à roissy - 19 juillet 2006
c’est une journée de juillet 2006 ; fait chaud dehors. c’est roissy ; fait frais dedans ; c’est l’aérogare 2 c, c’est le vol af ... pour pékin. ils sont deux enfants ; au regard de la loi, ils
sont deux « jeunes célibataires ». leurs parents sont d’un côté, eux de l’autre.
d’habitude ces parents-là et ces enfants-là sont ensemble pour partir en voyage, avec leurs bagages mal ficelés, encombrants, pas chics, c’est pas vuitton ces bagages-là , c’est tati c’est
monoprix c’est carrefour, c’est pas hermès et les vitrines extrême-orientales ou africaines qui font rêver les riches sans vergogne - les pauvres disent merci - pourquoi ? le pourquoi
appartiendrait aux dieux. pour l’heure vous vous contenterez du comment, lecteurs.
comment ça arrive ça, cette histoire de départ pas voulu sans les parents, forcé le départ. Ça parle de législation ici, ça législationne en vitesse, ça dit non à l’excision, ça dit non au
travail des enfants (quoique) ça permet le travail de nuit, et ça force au départ les enfants sans les parents. pourquoi ? le pourquoi est le mystère. contentez-vous du comment.
les enfants sont là , pas loin, sans bagages, ils sont pas d’ici puisqu’ils sont nés là -bas, le bagage est là -bas, la racine est là -bas, la culture est là -bas, la cellule de prison est là -bas,
c’est ça le retour prévu. donc, pas de bagages. donc, pas de parents. la tribu est là -bas... ou pas de tribu. en chine, si loin d’ici, pas de tribu au retour, seul dans la mégalopole ou seul
dans la cellule. donc, va là -bas. retourne là -bas petit célibataire.
ici pas de place. seul le sang compte.
on se dit faut-il du sang pour renverser le sang ? on se dit nos corps de français vont-ils se poser devant les roues de l’avion sur le sol de france ?
on se dit les journalistes sont là , tout va bien. si le témoin journaliste est là , tout va bien. il va témoigner du comment. le pourquoi attendra . seul le comment compte. le comment explique
ça. sûrement.
mais le journaliste pose sa caméra sur le sol de france. il obéit à l’injonction du « pas filmer ça ». le « filmer pas ça » fait attendre le comment. alors le dire, ça.
on a honte dans nos cerveaux de petits français de sol, et dans nos cœurs du sol de france aussi, on a de la vergogne. on pense à des mots : la vergogne c’est comme un oiseau d’avion dans le
ciel de france.
et c’est bientôt qu’il volera. les enfants « jeunes célibataires » sont là pas loin dans la voiture de police. tout à côté, il y a les passagers des vacances exotiques. c’est loin la chine. on
est toujours l’exotique de quelqu’un. ceux des voyages professionnels aussi en veulent de l’exotique. Ça exotique à toute vitesse dans le monde. pour les enfants sans bagages l’exotique c’est
quoi ?
pas moufeter. Ça voyage sérieux, ça pousse, ça force, ça va voler sec, vol sec, sans retour acheté, ça s’appelle un vol sec. aussi secs que nos yeux du sol de france, petits français témoins de
ça, du comment ça arrive une expulsion d’enfants majeurs du sol de france, nos yeux sont secs, pas pleurer ça, on fait de la politique, pas de l’assistanat à l’anecdote individuelle, juste
résister, dire, écrire, témoigner, pas se battre avec, lutter contre, pas de sang encore pour renverser ça, la situation de l’expulsion des enfants dans un bel oiseau sans vergogne.
on se dit ça, on a la vergogne, c’est toujours ça qu’on sauve de l’honneur d’être du sol de france. et puis on est militants de resf, ou on est élus, on est là , c’est ça qu’on sauve quand même,
on est là quand même ; il faudrait être davantage ; si tous les maires des villes du sol de france étaient là , ça ferait du monde, 36000 maires ça ferait du monde pour représenter le sol de
france ; mais on est une petite centaine, et puis des gens autour ; y’a du monde quand même pour un 19 juillet 2006.
on distribue des tracts aux passagers, il y a des représentants des syndicats des personnels au sol de france, des navigants. on explique « vous savez, ces jeunes-là , les enfants célibataires,
finalement n’ont aucun lien administratif avec leurs parents, c’est pas comme pour nous petits français, ils sont sans papiers mais leurs parents en ont, alors c’est eux qu’on expulse ». c’est
étrange, c’est bizarre et c’est passé comme une lettre à la poste qui bientôt ne sera plus publique mais privée, vous verrez comment plus tard.
pendant ce temps-là , le liban rebrûle, c’est un phénix le liban, c’est exotique, si près si loin, ça renaît toujours un liban qui brûle, de ses cendres. et puis il y a tant d’ouvrage sur la
terre, on ne peut pas être partout.
l’aérogare 2 c s’encombre, on va conduire les enfants, pas par la main, ils sont majeurs, menottés, ça fait pas dans la dentelle, ça pousse, ça repousse, ça reconduit hors du sol de france les
enfants majeurs, encadrés et menottés.
on les attend, on croit qu’ils vont embarquer comme les autres passagers, mais la loi quelquefois a honte. ils vont grimper par l’arrière de l’avion cigogne qui repart et pourtant c’est
l’été.
alors là , oui, même nos yeux s’emplissent de vergogne en même temps que nos cerveaux et nos cœurs. et l’oiseau sans vergogne dans le ciel de france va s’envoler... pourquoi ? c’est toujours un
mystère le pourquoi. ces deux-là sont arrivés en voiture de police sur le tarmac. pour eux, on a installé une passerelle à l’arrière de l’avion. c’est un traitement de faveur : encadrés et
menottés. ils sont deux, ces deux-là ont grimpé la passerelle dans la plus absolue discrétion finalement, ces deux-là que les parents avaient mis des années à faire venir sur le sol de france.
Ça coûte cher, on les fait venir l’un après l’autre, on construit année après année, on s’endette pour ça, et on paie la dette toute sa vie de parents pour en sauver un ou deux ou trois. sur un
milliard et demi de chinois, ça fait pas beaucoup (ce jour-là ils étaient chinois, ils auraient pu être maliens ou colombiens ou algériens). mais ça fait toujours un ou deux ou trois qu’on
sauve de la misère, c’est comme ça ; la misère ici c’est moins pire, c’est comme ça.
tu comprends ça lecteur ? nous, non. on comprend pas bien mais on se dit que pour construire ça il faut du courage, beaucoup.
hier sur arte, quelqu’un dit « el cordobès avait tout pour devenir matador calife : il avait faim ». c’est tout, c’est simple.
il faut de l’opiniâtreté et ça dépasse de beaucoup le niveau du particulier. c’est même universel le phénomène de l’immigration ; ou le phénomène de l’expulsion.
la question c’est : pourquoi fait-on autant de violence à autant de courage ? a resf comme chez d’autres militants ou élus, on se pose la question. Ça a l’air bête comme ça, c’est comme le coup
de tête de zidane ou un non à un référendum. parfois c’est simple une réponse : ça sort du sentier battu. c’est sec. c’est direct.
Ça dit non à l’expulsion des enfants petits majeurs célibataires ou enfants petits et scolarisés ici ou nés ici ou pas nés ici mais vivants ici. non.
dominique dou ecrivain
anne laure barbe fcpe
annie lahmer conseillère municipale des verts
témoignage refusé par libé
http://idf.lesverts.fr/article.php3?id_article=625
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mercredi 24 octobre 2007
grandes figures de la pédagogie
joseph jacotot (1770-1840) : passionné par toutes les disciplines, il enseigne la logique, le droit, le latin, les lettres, les mathématiques, etc. exilé en belgique après les cent jours, il
doit apprendre le français à des étudiants néerlandophones. or il ignore le hollandais. il demande donc aux étudiants, par l’intermédiaire d’un interprète, de travailler eux-mêmes sur une édition
bilingue du télémaque. les résultats sont excellents. il en tire comme conclusion que « l’homme peut s’éduquer lui-même et apprendre sans maître ». il ne refuse pas d’exercer
son autorité et de construire des situations contraintes, mais considère que celui qui apprend doit effectuer lui-même une démarche d’apprentissage et s’y s’impliquer complètement. l’enseignant
ne doit pas « expliquer », car il empêche alors l’élève de « découvrir ».
http://www.meirieu.com/patrimoine/lespedagogues.htm
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mercredi 24 octobre 2007
guy môquet n’est pas mort, je l’ai rencontré...
môquet n’est pas mort, je l’ai rencontré
par aline louangvannasy, professeure de philosophie au lycée rive-gauche de toulouse et secrétaire régionale de la cgt educ’action midi-pyrénées.
aujourd’hui, le président d’une grande démocratie ira dans un lycée lire la lettre d’adieu d’un jeune condamné à mort, guy môquet. cette lettre l’a, selon ses dires, beaucoup ému. mais guy
môquet n’est pas mort, je l’ai rencontré.
il s’appelle armen. armen a 7 ans. le 25 septembre 2007, le cartable sur le dos, il traversait la cour de son école de montauban. il était encadré par deux policiers en uniforme et en armes.
les parents d’armen sont étrangers. le mercredi 10 octobre 2007, armen a été placé en centre de rétention. dans un premier temps, le juge des libertés avait prononcé sa remise en liberté, car
il ne semble pas que dans notre beau pays les enfants aient leur place en prison. mais le tribunal de toulouse a fait appel, et le juge des libertés, le bien mal nommé, a donc émis un nouveau
jugement : armen restera en détention.
aujourd’hui, armen est au centre de rétention de cornebarrieu avec ses parents et sa sœur de 8 ans. armen ne mange plus. armen ne parle plus. armen est trop petit pour comprendre. pour
l’anecdote, il faut préciser que les parents d’armen viennent d’un pays, le monténégro, qui ne fera rien pour faciliter leur retour, parce qu’ils sont d’origine serbe. la mère, elle, pourrait
être envoyée en albanie avec les enfants, mais comme elle est aussi d’origine serbe, ils ne seront pas les bienvenus. ils seront donc difficilement expulsables.
ce sont les victimes innocentes de l’histoire, d’une histoire qui s’écrit au présent, n’en déplaise aux historiens. tout dépend du bon vouloir de la préfète du tarn-et-garonne, qui pourrait les
régulariser à titre humanitaire. pour l’instant, son argument consiste à dire qu’elle a déjà régularisé trois familles et que c’est donc suffisant.
la santé des enfants se dégrade ; de toute façon, ils sont en état de choc et ont besoin d’un soutien psychologique, qu’ils ne trouveront pas en albanie. après que les policiers sont venus
chercher armen dans son école pour être conduit au commissariat, il n’a pas revu ses parents. il a été placé avec sa sœur dans un foyer. ce n’est qu’une dizaine de jours plus tard, lorsqu’ils
ont été placés en centre de rétention, qu’ils ont pu retrouver leurs parents.
le cas de cette famille est exemplaire du cynisme de notre gouvernement et devrait nous alarmer.
comment peut-on accepter qu’un instituteur soit obligé sur injonction de sa hiérarchie de remettre à la police un enfant de 7 ans ? comment des fonctionnaires de police peuvent-ils accepter
l’ordre de se rendre dans une école pour interpeller un enfant ? comment un juge des libertés peut-il se livrer à une telle parodie de justice et bafouer les droits les plus élémentaires de cet
enfant ? tous les vendredis, un petit groupe de manifestants se rassemble devant la préfecture. j’espère que notre président lira libération lundi et fera un geste. il faut leur donner de la
visibilité à un moment où beaucoup préféreraient ne pas voir.
je suis en train de lire un texte de camus, je cite : «le monde a horreur de ces victimes inlassables. ce sont elles qui pourrissent tout et c’est bien leur faute si l’humanité n’a pas bonne
odeur» (actuelles ii, «persécutés et persécuteurs»). nos institutions, dont la fonction est de garantir un ordre social fondé sur la solidarité et le respect de la dignité humaine, sont-elles Ã
ce point devenues vides de sens ? le traumatisme psychologique que nous faisons subir à cet enfant aujourd’hui est semblable au traumatisme que subissent les enfants des pays en guerre. mais
sommes-nous en guerre ?
il est inacceptable que l’on instrumentalise à des fins politiques la vie de cet enfant que l’on condamne. nous devons réagir.
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lundi 22 octobre 2007
a la sortie des lycées parisiens, ce lundi à la mi-journée, ils étaient peu nombreux a avoir entendu la lettre de guy môquet le matin.
cordélia bonal
liberation.fr : lundi 22 octobre 2007
lundi à la mi-journée à paris, rares étaient les lycéens qui partaient déjeuner avec la lettre de guy môquet à l'esprit. au lycée charlemagne, dans le 4e arrondissement, la lecture a été
reportée à l'après-midi dans certaines classes pour cause de dst le matin. «et encore, s'interrogent des lycéennes de 1ère, on ne sait pas si la prof d'histoire va la lire ou non. en fait elle
ne nous en a pas parlé.»
même cas de figure pour alex, en terminale l au lycée ravel, dans le 20e, qui croit savoir que son prof de philo lira la lettre l'après-midi. lui non plus n'en a pas été informé par les
enseignants, mais par les médias. le nom de guy môquet ne lui est pas inconnu: l'année passée, sa classe était allée au mémorial de la shoah et au mont-valérien, où la fameuse lettre avait été
lue à la classe. «c'était intéressant parce que cette lettre était remise dans son contexte. là , si c'est juste pour la lire, je ne vois pas à quoi ça sert. il faudrait l'étudier, avec d'autres
textes.»
au lycée victor hugo, pas moins de deux heures doivent être consacrées à la lettre au cours de l'après-midi: les enseignants ont demandé à des comédiens du théâtre de la colline et à son
directeur alain françon de faire une lecture de la lettre, mais aussi de textes d'aragon ou d'andré breton, avant d'en débattre avec les élèves.
«c'est mieux comme ça, estime margot lycéenne, en terminale l. c'est une façon de respecter l'ordre de sarkozy mais d'une manière intelligente. de toute façon, la prof d'histoire ne voulait pas
nous la lire elle-même. elle dit qu'elle est prof d'histoire, pas de patriotisme.» ayant elle aussi étudié la figure de guy môquet l'année précédente en classe de lettres, elle regrette que le
chef ne l'etat «présente guy môquet comme une victime mais sans jamais parler de ses convictions politiques, de son engagement communiste». margot, dans la même classe, renchérit: «il ne
prend que ce qui l'arrange dans guy môquet pour en faire une vitrine, il fait de la pub sur son dos, alors que c'est une figure historique. c'est trop facile. et c'est trop facile d'en parler
seulement aujourd'hui. il y a même un téléfilm, une chanson... bientôt on aura des t-shirts guy môquet, comme pour le che! ».
pas de lettre de guy môquet ce lundi matin non plus au lycée la fontaine à paris, dans une classe de 1ère es. une allusion cependant en cours de français, qui n'a pas échappé à pauline. «nous
sommes en train d'étudier l'etranger d'albert camus. notre professeure évoque le personnage de meursault, et nous demande: "vous croyez que meursault agit sur un coup de tête ? comme sarkozy
avec la lettre de guy môquet ?"» ce sera la seule référence à la lettre de guy môquet pour cette classe de 1ère.
sur le même sujet
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pas avec son président»
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lundi 22 octobre 2007
tout reconstruire!
17 ans après le congrès de rennes, l'aggiornamento n' a pas eu lieu. ségolène royal a essayé de l'initier avant et après les primaires socialistes. elle a été systématiquement rappelée à l'ordre
du dogme. autre raison de la défaite des présidentielles. il aura fallu les législatives, la claque du premier tour surtout, pour enfin voir s'esquisser une rupture stratégique. de l'opposition
frontale chère à laurent fabius , totalement inefficace, dépassée sur tous les plans, françois hollande a souhaité passer à une opposition ferme et utile. mais ce changement, s'il est porté par
le seul françois hollande, affaibli, n' a aucune chance de rencontrer le moindre écho. a l' idée, excellente, de compléter toute critique par des propositions alternatives, le parti socialiste
devra ajouter l' ouverture à la société civile, développer ses relations avec les syndicats et le patronat.
le parti socialiste doit se défaire de ses années de mauvaises habitudes, de ses silences forcés que ségolène royal, trop seule, a tenté de transformer en messages pendant la campagne électorale
présidentielle. oui notre parti a l' obligation, l' ardente obligation de faire siens les tabous d' hier:
– l' ordre
– la sécurité de tous
– la famille
il n' y a pas de sujets de droite ou de gauche. il n' y a que des propositions de droite ou de gauche!
une autre rupture a trait aux alliances que le parti socialiste devra oser refonder. la «gauche de la gauche» est aujourd'hui' hui une peau de chagrin. les leaders de cette gauche là feraient
bien, eux aussi, de faire leur auto critique. ségolène royal a manqué, pendant toute la présidentielle, d' «alliés établis et consentants». car si la gauche du ps est très affaiblie, sa droite
n'est pas mieux lotie. le mouvement démocrate de françois bayrou tarde à prendre forme. et tarde à se situer vraiment. aussi, avant de nous demander quelles sont les valeurs que nous devons
défendre et sur lesquelles nous appuierons notre projet à venir, attelons-nous ensemble à ce préalable monumental:tout reconstruire chez nous!
christophe/25 juillet 2007
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